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Activités et rapports interparlementaires

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Triés en ordre chronologique inverse
CAPF Section canadienne de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie

La Section canadienne de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) a participé à la Commission de l’éducation, de la communication et des affaires culturelles s’étant tenu à Ottawa (Canada) du 24 au 25 avril 2023.
Des parlementaires représentant dix sections de l’APF se sont réunis au Parlement canadien pour participer à cette réunion.
Au tout début de la réunion, Francis Drouin, député, président de la Section canadienne et président de l’APF, a prononcé une allocution d’ouverture. Ensuite, la Commission a étudié plusieurs projets de rapports. À cet égard, Bernard Généreux, député, a présenté une version provisoire du rapport à de la Section canadienne portant sur l’usage du français au sein de l’espace Francophone. Les parlementaires ont également eu l'opportunité d'en apprendre plus sur certaines réalités canadiennes relevant du mandat de la Commission, telles l'éducation en français en contexte minoritaire, la formation offerte aux nouveaux arrivants au Canada afin qu’ils apprennent le français, la restitution des biens culturels au Canada et les programmes éducatifs offerts par le Parlement canadien.

CPAM Section canadienne de ParlAmericas

La 7e Rencontre du Réseau pour un parlement ouvert de ParlAmericas (RPO) a eu pour objectif d’analyser les impacts de la transformation numérique sur les systèmes démocratiques. Il s’agissait d’intégrer non seulement les opportunités et les défis qui ont émergé au cours des dernières années dû à la pénétration d'Internet et des TIC, mais aussi la façon de mettre en œuvre des initiatives garantissant une gouvernance numérique transparente et responsable à travers le paradigme du parlement ouvert.

Le programme a également abordé les impacts sociaux de ces transformations, en particulier en ce qui concerne l’autonomisation des femmes dans le cadre d’une gouvernance numérique inclusive reconnaissant l’importance cruciale de leur participation substantielle dans l’écosystème numérique comme condition sine qua non pour avoir des démocraties plus fortes et solides.